السلام عليكم و رحمة الله
Lomé a décidé d'attaquer le groupe séparatiste visiblement à
l'origine de l'attaque qui avait fait deux morts parmi l'équipe de
foot. La plainte vise également la fédération africaine.
L'Etat togolais a décidé de porter plainte pour "acte de terrorisme" contre le Flec (les Forces de Libération de l'Etat du Cabinda/Position Militaire), qui avait revendiqué l'attaque contre le bus transportant les joueurs nationaux en route pour la Can. Dans son élan, le Togo a également attaqué la Confédération africaine de football (CAF) et son président Issa Hayatou.
Cette plainte a été déposée par le Togo et les ayants-droit des deux personnes tuées au cours de l'attaque pour "actes de terrorisme", "assassinats et complicité d'assassinats", "atteinte involontaire et volontaire à la vie d'autrui" et "exposition d'autrui à des risques de mort et blessure".
Le dossier sera traité par la justice française, qui déterminera en
premier lieu si elle a une compétence pour enquêter sur cet attentat qui n'a pas fait de victime française.
Le parquet de Paris a ouvert parallèlement une enquête préliminaire mi-janvier pour "apologies d'actes de terrorisme" après les propos du Français originaire du Cabinda, Rodrigues Mingas, secrétaire général du mouvement rebelle, qui avait déclaré que "les armes allaient "continuer à parler" après cette attaque.
Le bus transportant la délégation togolaise à la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2010) dans l'enclave angolaise de Cabinda avait été mitraillé le 8 janvier par des séparatistes, faisant 2 morts parmi ses membres.
Cette attaque avait amené les Togolais à se retirer de la compétition après de nombreux rebondissements. Samedi dernier, la fédération africaine avait décidé de suspendre pour deux Coupes d'Afrique des nations le Togo.
Lomé a décidé d'attaquer le groupe séparatiste visiblement à
l'origine de l'attaque qui avait fait deux morts parmi l'équipe de
foot. La plainte vise également la fédération africaine.
L'Etat togolais a décidé de porter plainte pour "acte de terrorisme" contre le Flec (les Forces de Libération de l'Etat du Cabinda/Position Militaire), qui avait revendiqué l'attaque contre le bus transportant les joueurs nationaux en route pour la Can. Dans son élan, le Togo a également attaqué la Confédération africaine de football (CAF) et son président Issa Hayatou.
Cette plainte a été déposée par le Togo et les ayants-droit des deux personnes tuées au cours de l'attaque pour "actes de terrorisme", "assassinats et complicité d'assassinats", "atteinte involontaire et volontaire à la vie d'autrui" et "exposition d'autrui à des risques de mort et blessure".
Le dossier sera traité par la justice française, qui déterminera en
premier lieu si elle a une compétence pour enquêter sur cet attentat qui n'a pas fait de victime française.
Le parquet de Paris a ouvert parallèlement une enquête préliminaire mi-janvier pour "apologies d'actes de terrorisme" après les propos du Français originaire du Cabinda, Rodrigues Mingas, secrétaire général du mouvement rebelle, qui avait déclaré que "les armes allaient "continuer à parler" après cette attaque.
Le bus transportant la délégation togolaise à la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2010) dans l'enclave angolaise de Cabinda avait été mitraillé le 8 janvier par des séparatistes, faisant 2 morts parmi ses membres.
Cette attaque avait amené les Togolais à se retirer de la compétition après de nombreux rebondissements. Samedi dernier, la fédération africaine avait décidé de suspendre pour deux Coupes d'Afrique des nations le Togo.